Ce n'est un secret pour personne que les téléspectateurs regardent plus de vidéos à la demande que jamais auparavant, et regardent souvent plusieurs épisodes en une seule fois. En fait, 50 % de tous les foyers TV ont désormais accès à un service de vidéo à la demande par abonnement. Mais l'espace de la vidéo à la demande dispose de formats publicitaires limités et les créations sont souvent répétitives.
Le bon côté des choses, c'est que les téléspectateurs ne rechignent pas à regarder des publicités si la création est pertinente et si les publicités semblent naturelles. Selon le dernier rapport de Nielsen sur la vidéo à la demande dans le monde, près de sept personnes sur dix qui regardent de la vidéo à la demande ne sont pas gênées par la publicité si le contenu vidéo est gratuit.
La question qui se pose aux leaders du secteur est donc la suivante : Comment créer une expérience publicitaire attrayante où le contenu est souvent mis en attente ?
Afin d'éclaircir ce dilemme, Crackle, un réseau Sony, a demandé à Nielsen de mener deux études Nielsen Media Lab pour évaluer l'impact de la chaîne "over-the-top" de Crackle sur la valorisation de la marque et, séparément, pour comprendre la fréquence optimale de la publicité dans l'environnement publicitaire BreakFree de Crackle qui encourage le "binge viewing".